L’École du Magasin
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Recherche & index

Session 15

Capture d’écran de la page d’accueil du site de la Session 15.

Lors de la fermeture pour les travaux de rénovation de la verrière du Magasin (2014-16), l'équipe s'est installée dans des locaux situé sur en face du Magasin, sur le site Bouchayer-Viallet.

Le Magasin d’en face.

Montage de l’exposition “Danser l’actualité”, galerie de l’École des beaux-arts de Grenoble, novembre 2005. De gauche à droite : Lore Gablier, Stéphane Ibars, Yelena Yaïchnikova, Daphné Brottet.

Elena Yaïchnikova lors d’une visite d’exposition à Genève.

Visite du jardin artistique l’Îlot d’Amaranthes, Lyon. Sur la photo : Vladimir Us et Elena Yaïchnikova.

De gauche à droite : Stéphane Ibars, Lara Almarcegui, Elena Yaïchnikova.

Réunion de préparation à l’Association Amal, Grenoble, juin 2006.

Lors du Festival Est/Ouest à Die, 28–29 mai 2006.

Session 15: présentation

Session

15 (2005⁠​–⁠2006)

Participant·es

Daphné Brottet
Lore Gablier
Stéphane Ibars
Vladimir Us
Elena Yaïchnikova

Direction

Yves Aupetitallot

Site de la session

http://www.ecoledumagasin.com/session15/

Coordination

Alice Vergara-Bastiand

Tutorat –
Équipe pédagogique

Liliane Schneiter
Catherine Quéloz

Personnes rencontrées

Pierre-Olivier Arnaud (artiste)
Julie Ault (artiste)
Catherine Contour (chorégraphe)
Catherine David (commissaire d’exposition)
Luc Delahaye (photographe)
Guillaume Désanges (commissaire d’exposition)
Jean-Paul Felley (co-fondateur et co-directeur Attitudes, Genève)
Simone Forti (artiste)
Catherine Furet (architecte)
Ryan Gander (artiste)
Krist Gruijthuijsen et Johan Lundh (étudiants, CuratorLab Konstfack)
Olivier Kaeser (co-fondateur et co-directeur Attitudes, Genève)
Emmanuel Louisgrand (artiste)
Pierre Mahey (architecte et urbaniste)
Viktor Misiano (commissaire d’exposition)
Laurence Mundler (Festival Est/Ouest, Die)
Nils Norman (artiste)
Melik Ohanian (artiste)
Doina Petrescu & Constantin Petcou (achitectes)
Florian Schneider (artiste et activiste)
Stefan Tiron (artiste)
Karine Vonna (directrice, Villa du Parc)

Voyages

Genève (nov. 2005)
Paris (7–11 nov. 2005)
Lyon (16 fev. 2006)
Genève (21–23 fév. 2006)
Paris (1–5 mars 2006)
Die (28–29 mai 2006)

Archives liées

Documents

  • Synthèse des activités Session 15 (FR) [pdf, 158,27 KB]
  • Notes d’un séminaire avec Liliane Schneiter (FR) [pdf, 301,92 KB]
  • Programme du colloque “Nouvelles perspectives sur l’histoire de la photographie carcérale”, INHA, Paris, novembre 2005 (FR) [pdf, 13,51 MB]
  • “Photo 15 x 45 mm” by Vladimir Us, published on Session 15 website (EN) [pdf, 210,37 KB]
  • “Une histoire de la performance en 20 minutes” par Lore Gablier, texte publié le site de la Session 15 (FR) [pdf, 308,14 KB]

Photographies

  • Rencontre avec l’artiste-jardiner Emmanuel Lousigrand, jardin artistique l’Îlot d’Amaranthes, Lyon.

    [–]
    Rencontre, jardin artistique l’Îlot d’Amaranthes, Lyon.

  • Visite de l’exposition rétrospective de Steven Parrino au MACMO à Genève, hiver 2006.

    [2006]
    Voyage à Genève

  • Allocution de Robert Badinter lors du colloque “Nouvelles perspectives sur l’histoire de la photographie carcérale”, INHA, Paris, le 9 novembre 2005.

    [09.11.2005]
    Colloque, Paris

  • Rencontre avec Jérôme Grand au CNEAI à Paris, novembre 2005.

    [20.02.2030]
    Rencontre au CNEAI

  • Évaluation de fin d’année avec Liliane Schneiter (gauche), Alice Vergara-Bastiand (centre) et Catherine Quéloz (droite), juin 2006.

    [juin 2006]
    Évaluation de fin d’année

  • Rencontre avec Nils Norman au Magasin-CNAC. De gauche à droite : Krist Gruijthuijsen, Johan Lundh, Lore Gablier, Nils Norman, Daphné Brottet.

    [2006]
    Avec Nils Norman

  • Rencontre avec Catherine David à l’occasion du Festival Est/Ouest à Die, 29 mai 2006. De gauche à droite : Catherine David, Daphné Brottet, Elena Yaïchnikova.

    [29.05.2006]
    Avec Catherine David

Rencontre avec l’artiste-jardiner Emmanuel Lousigrand, jardin artistique l’Îlot d’Amaranthes, Lyon.

Visite de l’exposition rétrospective de Steven Parrino au MACMO à Genève, hiver 2006.

Allocution de Robert Badinter lors du colloque “Nouvelles perspectives sur l’histoire de la photographie carcérale”, INHA, Paris, le 9 novembre 2005.

Rencontre avec Jérôme Grand au CNEAI à Paris, novembre 2005.

Évaluation de fin d’année avec Liliane Schneiter (gauche), Alice Vergara-Bastiand (centre) et Catherine Quéloz (droite), juin 2006.

Rencontre avec Nils Norman au Magasin-CNAC. De gauche à droite : Krist Gruijthuijsen, Johan Lundh, Lore Gablier, Nils Norman, Daphné Brottet.

Rencontre avec Catherine David à l’occasion du Festival Est/Ouest à Die, 29 mai 2006. De gauche à droite : Catherine David, Daphné Brottet, Elena Yaïchnikova.

Curatorial Timeline: Les temps Changent

Projet

Curatorial Timeline: Les temps Changent

Présentation

L’École a accompagné la réouverture du Magasin en présentant un symposium intitulé Curatorial timeline : les temps changent !, consacré à l’évolution des pratiques curatoriales et à leur enseignement.
Pour le symposium, deux des partenaires historiques du réseau international des formations sur les pratiques curatoriales sont venus s’asseoir à la table ronde organisée par l’équipe pédagogique et les membres de la session 15 : le Royal College of Art de Londres, représenté par la responsable du Département Curating Contemporary Art et la Fondation De Appel d’Amsterdam, représentée par sa jeune (future) directrice, Ann Demeester.

Format

Symposium

Date

21 janvier 2006

Lieu

Le Magasin d’en face

Avec

Ann Demeester
Teresa Gleadow
Catherine Quéloz
Liliane Schneiter
Alice Vergara-Bastiand

Archives liées

Documents

  • Compte-rendu du symposiuem “Curatorial Timeline: Les temps changent” (FR) [pdf, 444,04 KB]

Photographies

  • Table ronde organisée pour le symposium *Curatorial Timeline : les temps changent*, Magasin d’en face, 21 janvier 2006. De gauche à droite : Ann Demeester, Teresa Gleadowe, Liliane Schneiter, Catherine Quéloz, Alice Vergara-Bastiand.

    [21.01.2006]
    Table ronde

  • Discussion après la table ronde organisée à l’occasion du symposium *Curatorial Timeline : les temps changent*, Magasin d’en face, 21 janvier 2006. Sur la photo : Teresa Gleadowe (à droite), Elena Yaïchnikova (de dos).

    [2006]
    Après la table ronde

  • Vue de l’entrée de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium *Curatorial Timeline : les temps changent*, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

    [21.01.2006]
    Entrée de l’exposotion

  • Vue de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium *Curatorial Timeline : les temps changent*, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

    [21.01.2006]
    Vue d’exposition

  • Vue de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium *Curatorial Timeline : les temps changent*, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

    [21.01.2006]
    Vue d’exposition

  • Détail de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium *Curatorial Timeline : les temps changent* (Magasin d’en face, 21 janvier 2006) : carte des programmes de formation curatoriale en Europe.

    [21.01.2006]
    Vue d’exposition

Table ronde organisée pour le symposium Curatorial Timeline : les temps changent, Magasin d’en face, 21 janvier 2006. De gauche à droite : Ann Demeester, Teresa Gleadowe, Liliane Schneiter, Catherine Quéloz, Alice Vergara-Bastiand.

Discussion après la table ronde organisée à l’occasion du symposium Curatorial Timeline : les temps changent, Magasin d’en face, 21 janvier 2006. Sur la photo : Teresa Gleadowe (à droite), Elena Yaïchnikova (de dos).

Vue de l’entrée de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium Curatorial Timeline : les temps changent, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

Vue de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium Curatorial Timeline : les temps changent, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

Vue de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium Curatorial Timeline : les temps changent, Magasin d’en face, 21 janvier 2006.

Détail de l’exposition de documents présentée à l’occasion du symposium Curatorial Timeline : les temps changent (Magasin d’en face, 21 janvier 2006) : carte des programmes de formation curatoriale en Europe.

Danser l'actualité

Projet

Danser l'actualité

Présentation

Figure centrale de la danse postmoderne américaine, Simone Forti développe depuis le début des années 1960 un travail d’improvisation basé sur l’observation et la reconnaissance du geste quotidien élémentaire. Arrivée à New York en 1960, elle participe au mouvement de radicalisation de l’art qui s’étend à toutes les disciplines.
L’’exposition Danser l’actualité met en exergue la dimension du mouvement à la fois physique et psychique dont le travail chorégraphique et poétique de Simone Forti est emblématique. Elle présente également le contexte artistique et politique dans lequel son travail a émergé. Le parti pris documentaire affirme une volonté de privilégier l’indexation et la fragmentation à une forme commémorative. L’exposition est par ailleurs élargie à d’autres lieux publics de la ville de Grenoble (bibliothèques, fonds d’archives, radio).

Format

Exposition

Date

16-18 novembre 2005

Lieu

Galerie de l’École des Beaux-arts de Grenoble

Avec

Simone Forti
Étudiant.e.s de l’École des beaux-arts de Grenoble

Archives liées

Photographies

  • Vue de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • *Huddle*, performance de Simone Forti avec un groupe d’étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble, 16 novembre 2006. À gauche : Simone Forti.

    [16.11.2005]
    Performance

  • Vue de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • Vue de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • Portait de Simone Forti dans l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • Vue de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • Performance de Simone Forti à l’occasion de l’ouverture de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [16.11.2005]
    Performance de Simone Forti

  • Montage de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Montage

  • Simone Forti commentant une sélection de documents présentés dans l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

  • Performance des étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble dans l’exposition *Danser l’actualité*, 16 novembre 2015.

    [16.11.2005]
    Performance

  • Performance des étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble dans l’exposition *Danser l’actualité*, 16 novembre 2005.

    [16.11.2005]
    Performance

  • Vue de l’exposition *Danser l’actualité*, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

    [nov. 2005]
    Vue d’exposition

Vue de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Huddle, performance de Simone Forti avec un groupe d’étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble, 16 novembre 2006. À gauche : Simone Forti.

Vue de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Vue de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Portait de Simone Forti dans l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Vue de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Performance de Simone Forti à l’occasion de l’ouverture de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Montage de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Simone Forti commentant une sélection de documents présentés dans l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

Performance des étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble dans l’exposition Danser l’actualité, 16 novembre 2015.

Performance des étudiants de l’École supérieure d’art de Grenoble dans l’exposition Danser l’actualité, 16 novembre 2005.

Vue de l’exposition Danser l’actualité, galerie de l’École supérieure d’art de Grenoble, du 16 au 18 novembre 2005.

eXe.cute

Projet

eXe.cute

Présentation

Proposée par l’École supérieure d’art de Grenoble et développeé en collaboration avec la Session 15 de l’École du Magasin (représentée par Lore Gablier), Execute est un atelier et programme public qui réunit deux chorégraphes et un théoricien autour d’une réflexion sur les pratiques, les modalités et les enjeux de la performance envisagée dans les champs de la danse contemporaine et des arts plastiques.

Format –
Date

15–16 mai 2006

Lieu

Auditorium du Magasin-CNAC

Avec

Antonia Baehr
Xavier Leroy
Christophe Wavelet

Archives liées

Documents

  • Appel à projet (FR) [pdf, 80,3 KB]
  • Poster [pdf, 183,38 KB]

Un pas de côté / A Step Aside

Projet

Un pas de côté / A Step Aside

Présentation

Le projet consiste en une programmation organique de conférences, discussions, projections et interventions d’artistes, dont l’hétérogénéité des géographies, des rythmes et des protagonistes — architectes, citoyens, agriculteurs ou artistes — témoigne d’une volonté de rompre avec les distinctions étanches qui scindent l’ensemble des disciplines et marquent l’apparition de domaines de plus en plus spécialisés et opaques.

Format

Programme public et plateforme en ligne

Date

3–18 juin 2006

Lieu

Le Magasin d’en face, Associtation Amal, Festival Est/Ouest (Die), La Plateforme – Grenoble Exposition Urbaine

Avec

Lara Alamarcegui (artiste)
Ève Couturier (artiste composittrice)
François Jarrige (historien)
Amy Franseschini et Myriel Milicevic (artistes membres du collectif FREE SOIL)
Jan Kopp (artiste)
Les petits producteurs de l’aggloméation grenobloise : Jérôme Bouilloud, Dominique Roybon, Vincent Rozé, Chantal Tournoud, Marc Bardin, David Médinger, Jean-Claude Mercier
Constantin Petcou (architecte, membre de l’atelier d’architecture autogéré)
Ghenadie Popescu (artiste)
Zahia Rahmani (écrivaine et historienne d’art)

Archives liées

Documents

  • Programme FR [pdf, 112,85 KB]
  • Press dossier UK [pdf, 365,63 KB]
  • Dossier de presse (FR) [pdf, 212,73 KB]
  • Poster recto-verso [pdf, 34,99 MB]
  • Flyer des programmes des 15 et 16 juin 2006 (FR) [pdf, 110,53 KB]
  • Flyer du porgramme du 7 juin 2006 (FR) [pdf, 114,71 KB]
  • Flyer du programem du 3 juin 2006 (FR) [pdf, 109,15 KB]

Médias et liens

  • E-Taz: plateforme en ligne du projet [webpage]
  • Marché d’ouverture de la programmation “Un pas de côté” [video]

Photographies

  • Devant l’espace Magasin d’en face : vue de la terrasse créée pour l’espace de rencontre et de documentation du projet *Un pas de côté*, proposé par la Session 15 du 3 au 18 juin 2006.

    [juin 2006]
    Vue d’installation

  • *L’agencement* : espace de documentation et de rencontre ouvert à l’occasion du programme *Un pas de côté*.

    [2006]
    L’agencement

  • Vue de l’installation de l’artiste Ghenadie Popescu réalisée pour le programme *Un pas de côté*, juin 2006.

    [juin 2006]
    Vue d’installation

  • Détail de l’installation de l’artiste Ghenadie Popescu présentée dans le cadre du projet *Un pas de côté*, juin 2006.

    [juin 2006]
    Détail d’installation

  • Déjeuner avec François Jarraige et Ève Couturier. De gauche à droite : Daphné Brotter, Stépahne Ibars, François Jarrige, Virginie [?], Lore Gablier, Elena Yaïchnikova, Alice Vergara-Bastiend, Ève Couturier.

    [juin 2006]
    Déjeuner avec les artistes

  • Sac en papier designé par le collectif Free Soil pour le marché organisé à l’occasion de l’ouverture du projet *Un pas de côté*, juin 2006.

    [juin 2006]
    Sac designé par Free Soil

  • Marché organisé avec les petits producteurs de la région de Grenoble à l’occasion du vernissage du programe *Un pas de côté*. Sur la photo : Daphné Brottet (au centre).

    [03.06.2006]
    Marché

  • Marché organisé avec les petits producteurs de la région de Grenoble à l’occasion du vernissage du programe *Un pas de côté*. Sur la photo : Daphné Brottet (au centre).

    [03.06.2006]
    Marché

  • Conférence de Constant Petcou, architecte-chercheur, à propos d’ECObox : un projet participatif mené avec les habitants du quartier La Chapelle à Paris visant à transformer un espace en friche en jardin participatif et lieu de rencontre et débat. La conférence a eu lieu à La Plateforme à Grenoble, le 15 juin 2006.

    [15.06.2006]
    Conférence de Constantin Petcou

  • Conférence de l’artiste Lara Almarcegui à La Plateforme, Grenoble, le 16 juin 2006.

    [16.06.2006]
    Conférence de Lara Almarcegui

  • *Jardins littéraires* : lecture par Zahia Rahmani à l’Association Amal à Grenoble, 9 juin 2006.

    [09.06.2006]
    Jardins littéraires avec Zahia Rahmani

Devant l’espace Magasin d’en face : vue de la terrasse créée pour l’espace de rencontre et de documentation du projet Un pas de côté, proposé par la Session 15 du 3 au 18 juin 2006.

L’agencement : espace de documentation et de rencontre ouvert à l’occasion du programme Un pas de côté.

Vue de l’installation de l’artiste Ghenadie Popescu réalisée pour le programme Un pas de côté, juin 2006.

Détail de l’installation de l’artiste Ghenadie Popescu présentée dans le cadre du projet Un pas de côté, juin 2006.

Déjeuner avec François Jarraige et Ève Couturier. De gauche à droite : Daphné Brotter, Stépahne Ibars, François Jarrige, Virginie [?], Lore Gablier, Elena Yaïchnikova, Alice Vergara-Bastiend, Ève Couturier.

Sac en papier designé par le collectif Free Soil pour le marché organisé à l’occasion de l’ouverture du projet Un pas de côté, juin 2006.

Marché organisé avec les petits producteurs de la région de Grenoble à l’occasion du vernissage du programe Un pas de côté. Sur la photo : Daphné Brottet (au centre).

Marché organisé avec les petits producteurs de la région de Grenoble à l’occasion du vernissage du programe Un pas de côté. Sur la photo : Daphné Brottet (au centre).

Conférence de Constant Petcou, architecte-chercheur, à propos d’ECObox : un projet participatif mené avec les habitants du quartier La Chapelle à Paris visant à transformer un espace en friche en jardin participatif et lieu de rencontre et débat. La conférence a eu lieu à La Plateforme à Grenoble, le 15 juin 2006.

Conférence de l’artiste Lara Almarcegui à La Plateforme, Grenoble, le 16 juin 2006.

Jardins littéraires : lecture par Zahia Rahmani à l’Association Amal à Grenoble, 9 juin 2006.

Entretien avec Lore Gablier

Entretien avec Lore Gablier
par Michela Alessandrini
17.05.2018

Michela Alessandrini : Pour commencer, pourrais-tu te présenter et me parler de ton parcours personnel ?

Lore Gablier : Je m’appelle Lore Gablier. J’ai étudié à l’École Régionale des Beaux-Arts de Valence qui, lorsque j’y suis entrée, était dirigée par Yves Robert. Lors de mes dernières années d’études, c’est Victoire Dubruel qui était directrice et c’est elle qui m’a parlé de l’École du Magasin. Pour une étudiante en école d’art en région Rhône-Alpes, le Magasin était l’un des lieux d’art contemporain les plus important et je l’ai visité régulièrement. Je me souviens très bien, par exemple, de l’exposition rétrospective autour du travail de Mike Kelley qui était très impressionnante pour une étudiante de troisième année aux Beaux-Arts. Pour autant, je ne connaissais pas vraiment l’École. Dans mon travail, j’étais de plus en plus intéressée par le contexte d’énonciation de l’œuvre d’art et au cours d’une discussion avec Victoire, elle m’a conseillé de postuler à l’École. L’année qui a suivi mon diplôme, je l’ai consacrée à préparer mon dossier de candidature.

MA : Du coup tu as connu l’École par des intermédiaires qui travaillaient à l’école d’art.

LG : Absolument. Comme je le disais, à l’école d’art de Valence, il y avait Yves Robert qui avait participé à la première session, l’enseignant Dean Inkster qui avait participé à la Session 9, et nous avions rencontré Alejandra Riera qui nous avait accompagnés lors d’un voyage d’étude à Sarajevo et qui avait elle aussi participé à la Session 9. Il y avait donc un groupe de personnes qui gravitait autour de moi et qui ont connu l’École.

MA : Rappelle-moi, à quelle session as-tu participé ?

LG : Il s’agissait de la Session 15, en 2005-2006. On était un groupe de cinq. Parmi nous, il y avait Vladimir Us, qui était moldave. Il se trouve qu’il était en fait stagiaire au Magasin, ce que nous n’avions pas compris au départ. Assez naturellement, on a travaillé avec lui dès le début de l’année et en décembre, on a appris qu’il n’était en fait pas un participant de l’École. En tant que groupe, on a donc exprimé notre souhait à Alice qu’il reste parmi nous. Comme il était moldave, il y avait des questions de visa qui ont pu se résoudre car Vladimir s’est inscrit à l’Université de Lyon et a pu bénéficier d’un visa étudiant. On a donc continué notre travail à cinq. Nous étions trois français, un moldave et une russe.

MA : Vous communiquiez en quelle langue ?

LG : C’est une bonne question… Je ne souviens plus. Elena et Vladimir parlaient plutôt couramment le français, mais je pense qu’on travaillait dans les deux langues.

MA : Qui coordonnait l’École ?

LG : C’était Alice Vergara-Bastiand.

MA : Et vous aviez un tuteur ?

LG : On a rencontré très tôt dans l’année Liliane Schneiter et Catherine Quéloz qui ont organisé un séminaire autour de la question des pratiques curatoriales. La présentation de Catherine était une présentation historique qui permettait de recontextualiser la pratique curatoriale comme un développement de la pratique des artistes qui à un moment donné se saisissent de l’espace d’exposition et créent des lieux d’exposition. On peut penser à Gordon Matta-Clark qui imagine toute une économie ou à des collectifs comme General Idea. Ensuite, elles nous ont proposé une notion de travail : celle de « résistance ». On en a beaucoup parlé avec elles lors d’un séminaire. Mais par la suite, on les a très peu vues. Elles sont venues pour la présentation de notre projet en juin et on les a tenues informées toute l’année, mais on ne les pas rencontrées davantage et on a eu un échange de mails moins soutenu que ce qu’on espérait. C’est vrai qu’on aurait souhaité avoir plus de retours de leur part. J’avoue que je ne sais pas ce qu’était vraiment leur rôle et comment l’École était structurée. Je pense que comme pour beaucoup de sessions, la structure de l’École restait assez floue. Après, l’École s’appuyait sur un principe d’études indépendantes et c’est vrai qu’on arrive peut-être avec des bagages scolaires qui nous induisent en erreur. Personnellement, je venais d’une école d’art donc ça ne me gênait pas beaucoup.

MA : En parlant d’école d’art, est-ce qu’il y avait des échanges avec l’école d’art de Grenoble ?

LG : Oui. On a monté deux projets en lien avec l’école d’art qui était à l’époque dirigée par Thomas Kocek, lui-même un ancien étudiant de l’École du Magasin. Thomas avait invité la chorégraphe Catherine Contour que je connaissais de mes années d’études à Valence et qui avait proposé de faire intervenir Simone Forti, l’une des pionnières de la danse postmoderne américaine. On nous a sollicité pour imaginer une exposition autour de son travail. Pour nous, c’était important de recontextualiser le travail de Simone Forti au sein de la scène d’avant-garde américaine donc on a proposé une exposition de documents. Le second projet, sur lequel je fus la seule du groupe à travailler, s’appelait Execute et portait sur la question de la partition en art qui m’intéressait beaucoup et sur laquelle je m’étais déjà penchée. Avec Ludovic Burel, qui était enseignant, on a travaillé sur un workshop qui s’est conclu par un programme de performances qui a été présenté dans l’auditorium du Magasin. Alice a beaucoup collaboré avec Ludovic dans ces années-là.

MA : Et le projet sur lequel vous avez travaillé en tant que session, il consistait en quoi ?

LG : Le projet s’appelait Un pas de côté. Comme je le disais plus tôt, on a travaillé sur la notion de « résistance » : Qu’est-ce qu’on entend par là ? En électricité, la résistance c’est ce qui permet de faire circuler le courant et cette métaphore nous intéressait beaucoup. On s’est donc penché plutôt sur ce qu’on appelait des formes de « résistance lente » et qui ne relèvent ni de la manifestation, ni la révolution. Ça nous intéressait aussi d’ouvrir nos questionnements à d’autres champs que celui de l’art et on s’est donc penché sur les formes de déplacements que l’on trouve par exemple en histoire, en architecture, ou dans l’activisme. Notre projet, qui a pris la forme d’un programme public, avait aussi un ancrage assumé dans le contexte de Grenoble. Il est important de rappeler qu’à cette époque, le site du Magasin [la Halle Bouchayer-Viallet] était fermée pour travaux et donc on était relogé dans des préfabriqués à côté. Pour notre projet, on disposait d’une salle dans ces locaux qu’on a pensée comme un lieu qui évoluait au fil du programme et qui était aussi un lieu de ressources, de documentation. Pour notre programme, on a collaboré avec plusieurs lieux de la ville dont, par exemple, l’association Amal qui promeut la culture maghrébine et qu’on avait rencontrée assez tôt dans l’année. Alice nous avait encouragés à rencontrer divers acteurs de la vie culturelle grenobloise. Dans le cadre de notre collaboration avec l’association, on a voulu travailler sur l’idée de jardin qui est importante dans la culture du Maghreb. On a invité l’historienne de l’art et écrivaine franco-algérienne Zahia Rahmani qui a proposé une réflexion sur le jardin et l’orientalisme à travers une lecture de textes littéraires, scientifiques, vernaculaires. La Ville de Grenoble a aussi accueilli un de nos événements dans une salle qui leur sert notamment pour présenter leurs projets d’urbanisme. On avait proposé à l’artiste Jan Kopp, qui avait été invité par la Ville de Grenoble à développer un projet dans le cadre d’un plan de régénération du quartier des Eaux Claires, à venir témoigner de son expérience. C’était intéressant car son projet accompagnait plus qu’il ne questionnait ce projet de régénération. Pour l’occasion, on avait aussi invité l’artiste Lara Almarcegui qui, au contraire, pense l’architecture plutôt à travers disons ses « vides » : ses dents creuses, ses terrains vagues.
L’ouverture de notre projet avait lieu le jour du vernissage de l’exposition d’été du Magasin qui marquait aussi la réouverture de la Halle Bouchayer-Viallet. Pour l’occasion, on avait organisé un marché en collaboration avec des petits producteurs locaux engagés dans des pratiques « raisonnables », en marge de l’agriculture intensive. Je me souviens qu’Yves était furieux et qu’il a vraiment perçu l’organisation de ce marché comme une provocation. Alors que ce n’était pas du tout le cas… En fait, on a très peu vu Yves tout au long de l’année. Je ne pense pas qu’il soutenait notre démarche ni notre projet…

MA : Et en général, quels étaient vos rapports avec le centre d’art ?

LG : Les relations entre Yves et Alice s’étaient déjà dégradées. Et c’était aussi un moment particulier pour le Magasin. La fermeture pour travaux a coûté énormément d’argent, aussi du fait que le loyer des locaux dans lesquels on avait été relogé était très élevé. J’imagine qu’Yves était aussi très pris dans ces questions-là. Avec le reste de l’équipe, par contre, nous avions de très bonnes relations et tout le monde était assez enthousiaste avec notre projet, sans doute du fait de sa dimension locale. Ils ont assisté à nos événements et ont été un soutien précieux tout au long de l’année.

MA : Quelle était la dynamique de votre groupe ? Comment se sont passées vos relations ?

LG : Il y a eu des discordes terribles par moment. Personnellement, je m’entendais très bien avec deux d’entre nous, dont Vladimir avec qui je suis restée proche, et moins bien avec deux autres dont je ne partageais pas vraiment les visions. Rétrospectivement, je pense que j’avais aussi tendance à prendre trop de place.

MA : J’aimerais revenir sur tes aspirations au début de l’année et sur ce qui t’es resté à la sortie de l’École.

LG : Comme je te le disais, la raison pour laquelle j’ai décidé de postuler c’était que, au sein de ma pratique d’étudiante en art, je m’intéressais particulièrement au contexte d’énonciation de l’œuvre, à l’espace d’exposition. J’ai eu beaucoup de plaisir à préparer mon dossier de candidature, pour lequel je m’étais lancée dans la traduction de l’essai de Brian O’Doherty, Inside the White Cube: The Ideology of the Gallery Space, que je voulais mettre en scène. Pour moi, la question de l’espace d’exposition, sa dimension à la fois phénoménologique et linguistique, c’était quelque chose qui me parlait beaucoup et c’était important de me trouver dans un contexte où elle était centrale. J’ai beaucoup appris à l’École, notamment sur le « construire ensemble » à partir d’une position un peu différente que celle que j’avais pu assumer jusque-là. Cela m’a permis de comprendre mon fonctionnement, mes forces et mes faiblesses, mes travers. Je dirais que beaucoup des outils théoriques de l’École m’étaient déjà familiers et avec le recul, je me rends compte qu’ils étaient principalement articulés sur une culture occidentale – ce qui était peut-être l’une des faiblesses de l’École du Magasin. Tout un pan de l’histoire de l’art d’Amérique latine, d’Asie ou d’Afrique aurait pu être davantage développé, je pense. On restait quand même sur des références d’avant-gardes européennes, new-yorkaises, mais aussi d’études culturelles.

MA : Pourtant, il y avait des étudiants qui venaient de partout.

LG : J’ai quand même l’impression que dans l’histoire de l’École, il y a eu très peu d’étudiants d’autres continents que l’Europe. C’est peut-être lié à des complexités de visa ou à la distribution de l’appel à candidature. Je ne sais pas.

MA : C’est aussi sans doute lié à des questions économiques. Même si l’École n’était pas payante, elle n’offrait pas non plus de bourse.
Je voudrais revenir sur la place de la pratique et de la théorie à l’École, et sur la manière dont elle a évolué tout au long de son histoire. Qu’en était-il à ton époque ?

LG : Le début de la Session 15 a été marqué par un séminaire avec Catherine et Liliane où on s’est trouvé confronté à un ensemble de matériaux qui te demandent un certain temps pour être digérés. En d’autres termes, il s’agissait dans un premier temps de trouver ses marques et ses outils théoriques. D’un autre côté, le projet autour de Simone Forti qui a eu lieu en novembre nous a mis très vite au travail : comment donner forme à une recherche ? Mais notre projet principal, Un pas de côté, a été nourri de beaucoup de lectures et recherches. Tout au long de l’année, on n’a pas pris part aux activités du Magasin, comme ce fut le cas des premières sessions. Encore une fois, dans notre cas, le Magasin était aussi fermé pour travaux donc son fonctionnement était très différent. Je me souviens que nous avions sollicité Alice pour passer, par exemple, une semaine avec le service de communication et mieux comprendre leur travail. Mais c’était de notre initiative. J’ai quand même l’impression que dans notre expérience, il y a eu un équilibre entre pratique et théorie. On était aussi une session un peu particulière car on était quasiment tous des anciens étudiants d’écoles d’art – on venait de la pratique.

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Présentation
Session 15 (2005⁠​–⁠2006)
Projet(s)
Curatorial Timeline: Les temps Changent
Danser l’actualité
eXe.cute
Un pas de côté / A Step Aside
Entretien(s)
Avec Lore Gablier
  • Session 16
  • Session 14